La politique de Dieu

"Il allait de lieu en lieu, faisant du bien à tous."





11 accélération de l'histoire

13 Voici l'homme

15-devoir de désobeissance

16 Jesus notre seul avenir

17-BABEL orgueil des hommes

18-92ans evolution

19 Dieu-la religion-l'Eglise

21-accueil-l'imminence de la fin

22-conduite-a-adopter

23accueil-harmaguedon.

24000-accueil-jerusalem.


 POLITIQUE DE DIEU
2010 : Introduction. Le nom.

2020 : L'incroyable politique de Dieu.

2030: Le règne a venir.

2040: Etre un Dieu sans pouvoir.

2050: Babel, Babylone, Rome, ... et Aujourd'hui ?

2060: Le jour de Dieu et le Royaume.


 
 Le Règne à venir. Le Règne sans fin.

" Le septième ange fit sonner sa trompette: dans le ciel de grandes voix se mirent à dirent:

Voici l'Avènement du Royaume mondial !

C'est celui de Notre Seigneur et de son Christ. 

Et il régnera pour les siècles des siècles "

( Apocalypse 11. 15 )

 

 De même que le septième ange annonce au monde l'arrivée de l'ultime accomplissement: le règne éternel,

 de même l'ange avait annoncé à Marie ce règne éternel en son commencement: la naissance de Jésus:

" Tu mettras au monde un fils et tu lui donneras le nom de Jésus. 

Il sera grand et sera appelé fils du Très Haut.

Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père. 

Il régnera pour toujours sur la famille de Jacob. Et son règne n'aura pas de fin"

( Luc 1. 31 à 33 )

( L'incarnation a donc une finalité politique )

 DIEU ?

Tel est le titre de l'essai d'Albert Jacquard, ouvrage publié en 2003 par les éditions Stock- Bayard: seulement le mot " Dieu", avec un grand point d'interrogation. Avant d'écrire quelques pages sur " la politique de Dieu" je me permets d'écrire les brèves réflexions suivantes en conservant la même interrogation: " DIEU" ? Nullement pour exprimer des perplexités et des doutes au sujet de "l'existence" et de la " réalité" de "Dieu" !

Mais pour interpeller le scientifique qu'est A. Jacquard et le prendre en flagrant délit de démarche non-scientifique quand il s'autorise à parler de " Dieu" dans le cadre de la science et dans les limites des valeurs et des critères de cette science. Comme si celle-ci pouvait dire quoi que ce soit sur " Dieu" sans cesser d'être strictement de la science !!

La science est incompétente pour citer Dieu à la barre de son tribunal.

Par contre, la " science " historique et les divers savoirs de la critique littéraire sont compétents et indispensables pour vérifier si ce que l'Église dit est en conformité avec le sens textuel des écrits bibliques, notamment des écrits du Nouveau Testament. Tout comme historiens, sociologues et moralistes sont habilités à voir si ce que vivent e t pratiquent les chrétiens d'aujourd'hui est en conformité avec l'Évangile proclamé par le Jésus du Nouveau Testament et avec l'éthique des premières générations chrétiennes. 

Là, il est nécessaire que l'Église, telle qu'elle est, se laisse " juger" par les " sciences " humaines.

Si alors, il faut dédouaner " Dieu" de " l'Église" et désolidariser Jésus Christ de l' " Église", par exemple de l'Église Catholique ou de l'Église Réformée,

faisons-le !

Quand au vocable " Dieu", s'il est nécessaire ( et combien c'est nécessaire ! ) de ne l'appliquer qu'à ce dieu d'Israël qui se veut indicible et ne se nomme qu'avec les quatre consonnes imprononçables du mot YHWH, alors, alors faisons-le ! Et cessons de le confondre avec l'Etre suprême des religions et avec l'Entité métaphysique dont parlent les philosophes.   

Suite

 


   

Georges SIGUIER  1920--2016
 (Pasteur, Église réformée de France)  


 

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