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vus du point de vue biblique à la lumière de Jésus et de son évangile. 11 accélération de l'histoire 21-accueil-l'imminence de la fin 22-conduite-a-adopter 2200-accueil-plan.
2201-Le monde-nouveau. 2202-imminence-revelee par -apocalypse 2203-quefaire1reponse-des-evangiles 2204-quefaire2-amour-ennemis 2205-quefaire3.reponse -des-apotres 2206-quefaire4.sortir-de-babel 2207-quefaire-5.pretres-prophetes-rois Amour-communion-Jésus est le Temple |
En somme QUE FAIRE AVANT LA PAROUSIE? 2 axes de la morales chrétienne:
1 Sortir de Babel
CAR, L'Histoire mondiale est structurée par l'antagonisme entre "Jérusalem" et "Babylone" (Babel=Rome) 2 Entrer dans la Jérusalem nouvelle. (Apocalypse du chapitre 12 à la fin) Double démarche spirituelle de repentance et de conversion à Jésus. *Sortir de "Babylone" et de "Rome" en cessant de pratiquer la politique et la violence militaire de ce monde; donc *entrer dans la "Jérusalem nouvelle" qui vient, et pratiquer déjà la morale qui y règne, celle de son "Roi", l'amour, l'amour des ennemis tel que jésus l'enseigne et le vit. INTERPRETATIONS au sujet de "Babylone" (Apocalypse 17.ss)
Elles sont
nombreuses, et il y a de quoi s'y perdre! Comme c'est le cas des
spéculations ayant cherché à identifier la Bête du chapitre 13.Ecartons d'emblée celle qui prétend identifier "Babylone" avec Babylone, celle que les Juifs déportés en Mésopotamie ont connue autrefois at que Saddam Ussein avait entrepris de restaurer! Il n'y a pas grand chose à juger à cet emplacement! Ecoutons plutôt Pierre qui écrivait sa lettre "de Babylone", mot allégorique désignant la Cité impériale en Italie, c'est à dire Rome (1 Pierre 5. 13) Mais, à l'opposé, nombreux sont les commentaires qui lisent ces prophéties en n'y voyant que des avertissements et jamais des prédictions: ces écrits n'auraient rien à dire au sujet de l'avenir de notre monde, rien non plus sur la "soi-disant" colère de Dieu. Ils ne parleraient que du passé, c'est à dire de l'Empire romain du 1° siècle, de la divinisation des Empereurs idolatrés et de la persécution des chrétiens! Il y a également une interprétation que l'on trouve fréquemment dans les milieux dits "évangéliques": cette interprétation, séparant la Rome "politique" de la Rome "religieuse", voit en celle-ci l'Eglise catholique Romaine, décrite au chapitre 17 ( la Prostituée). Elle invite d'ailleurs à sortir de cette Eglise-là.... mais aussi de toutes les Eglises qui collaborent à l'oeucuménisme! Mais regardons de près l'Apocalypse..... D'HARMAGUEDON A BABYLONE.
Lorsque nous lisons le chapitre 16
de l'Apocalypse, l'auteur nous fait passer d'"Harmaguédon" à
"Babylone". D'un verset à l'autre (16 et 17) nous sommes transportés
ailleurs, un "ailleurs" dont il sera question pendant plusieurs
chapitres. Là, le mot "Babylone" revient souvent et, incontestablement, il y désigne la ville de Rome. C'est la "grande cité"
d'Apocalypse 16. 19, la ville impériale qui est à la tête des cités des
nations. Plusieurs détails l'identifie: elle se trouve "au bord des océans"
(17.1), a proximité de la mer; elle a sept collines symbolisée par les
sept têtes de la Bête (17.9); et ses rois exercent le Pouvoir mondial
(17. 18)"Babylone" c'est Rome. Ce symbolisme était, au premier siècle, utilisé souvent. Exemple: la 1° lettre de Pierre ( 5.13) "La communauté des élus qui est à "Babylone" vous salue, ainsi que Marc, mon fils (spirituel)" Ne perdons pas de vue, par conséquent, la perspective eschatologique du long développement que l'Apocalypse consacre à Rome et, selon Jean, à la proximité du jugement redoutable qui va frapper la grande "prostituée" (Chapitre 17), antithèse de Sion, la Jérusalem qui est l'Epouse du Messie C'est, en effet, à la ruine définitive de Rome que Jean nous fait assister. (Chapitre 18): impressionnant Dénouement qui va avoir lieu en même temps que, près de Jérusalem, l'offensive mondiale contre Sion va être brisée, laissant la place au Messie, vainqueur de "César". "SORTEZ DE CETTE CITE O MON PEUPLE !" ( voir Jérémie 51.6) En même temps qu'il annonce et proclame la fin et la disparition de "Rome" (Apocalypse 18. 1 à 3), l'ange du Seigneur exhorte les fidèles de Jésus à sortir de cette cité:
ACTUALISATION DES PROPHETIES sur Babylone-Rome Les Babels historiques ont été, et sont aujourd'hui, les vastes collectivités humaines qui se construisent en structures pyramidales avec un double projet; d'une part surmonter les incessants conflits sociaux et les guerres en imposant l'unification, l'"unité", d'autre part élever cet ensemble humain à la rencontre d'un "divin" accessible, tout en haut de la tour nommée en babylonien "Porte des dieux". Alliance du "religieux" et du "politique", de l'autel et du trône, du goupillon et du sabre! Voir:stop-chretiente Survol historique: la PROGENITURE DE BABEL (liste non exhaustive, bien sûr) * Babel de Génèse 11, en Mésopotamie (Shinéar) * Babylone, au temps d'Esaïe (Esaïe 13 et 14) * L'Empire des Mèdes et des Perses (Livre de Daniel) * L'Empire grec d'Alexandre le Grand, 2° siècle avant Jésus-Christ. * L'Empire Romain des Césars (1° siècle),
autrement
dit la "Rome européenne" ou "occidentale", tellement notre civilisation
actuelle est imprégnée de l'héritage et des valeurs de la Rome
impériale des premiers siècles.
Rome était une déesse et César un demi-dieu, les deux régnant sur les peuples conquis et sur les multitudes d'esclaves écrasés en bas de la prestigieuse pyramide. Il n'est pas étonnant que les église primitives aient surnommé "Babylone"" cette Rome-là qui les martyrisait au Colisée et en Asie mineure. Mais le jugement et la fin de cette "prostituée", annoncés par l'Apocalypse, ont eu lieu vers la fin du 5° siècle, lorsque les "barbares" ont, à plusieurs reprises, dévasté la "Ville éternelle". Cependant le mot "Rome" était déjà, et pour longtemps! devenu un symbole remplaçant le mot "Babylone", mot emblématique puissamment apte à représenter la Cité idéale, la Cité de Dieu aux dimensions du monde.
* La Rome de la "Chrétienté"! Celle-ci a pris la relève de la Rome des Césars et en a assumé l'héritage, dès le 4° siècle et jusqu'à nos jours. Rome devint alors la capitale d'une théocratie inédite, la "Chrétienté", et le siège d'un évêque aspirant à être le Chef d'une "Eglise catholique romaine" se confondant avec le "christianisme".
* Le "Saint" Empire romain germanique.Celui-ci s'éloignait terriblement de l'Evangile de Jésus en se disant "la vraie religion" et, à ce titre, en jugeant normal d'exercer un Pouvoir politique international. Au bout d'une évolution séculaire, force et de constater et de déplorer ce fait: le "Saint Siège" est un Etat: le "pape" est un chef d'Etat, la "Curie" un gouvernement, le "Vatican" le domaine d'un Souverain et le drapeau du Vatican le symbole d'une tragique imposture: blasphème contre le Messie d'Israël, contre le Dieu d'Israël, contre Sion ( la Ville du grand Roi), contre Jérusalem qui va accomplir pour toujours sa vocation d'être l'antithèse de Babel, l'inverse de "Rome" ! * L'Empire Byzantin. * L'Empire (ephémère) de Napoléon 1° * Le 3° Reich, l'Empire hithérien (éphémère aussi mais coupable de la choah: signal avertisseur que "la fin de ce monde est proche" * La Babel mondiale de 2014: C'est
notre société humaine d'aujourd'hui. Pour la dernière fois, et pour sa
perte, ce monde actualise "Babel" et actualise "Rome". Il va connaître
le Jugement du Dieu d'israël. Mais il va céder la place au monde
nouveau déjà prêt, à la Jérusalem du "Roi des Juifs".
ACTUALISER DEJA LA NON-VIOLENCE
de Jésus et de son Règne. Celles-là, on les connaît! Depuis la Préhistoire! Et moi aussi, dans ma jeunesse, j'en ai été intoxiqué, si je puis dire. En effet, pendant la guerre de 1939-1945, j'étais convaincu que mon devoir de français et de chrétien me poussait à prendre les armes, à entrer en clandestinité et à aller au maquis pour libérer la France des Allemands qui l'occupaient. D'ailleurs ma famille, mes professeurs et mes pasteurs étaient tous d'accord pour m'encourager dans cette voie. N'étaient-ils pas tous habités par cette idéologie national-patriotique qui est l'esprit de la "chrétienté" séculaire? Comment sortir de cette Babel? Que faire pour abandonner concrètement ce civisme meurtrier? Par mes seules forces je ne pouvais pas. Il a fallu que Dieu lui-même s'en charge. Il l'a fait, le 19 octobre 1943, en utilisant les soldats allemands qui ont attaqué nos maquis de Tréminis (Alpes) et m'ont envoyé au camp de concentration de Mauthausen (Autriche). C'est là qu'a commencé ma cure de désintoxication: d'une part d'engagement de babel et de sa morale, d'autre part engagement dans le civisme non-violent du Royaume. Quel est ce "civisme non-violent" qui sera de règle dans le Royaume de Dieu? Ce sera, ni plus ni moins, la ligne de conduite prescrite et pratiquée par Jésus lui-même:
ACTUALISER DEJA L'UNITE ET LA COMMUNION FRATERNELLE
du Corps du Christ. Oui
déjà, sans attendre que l'arrivée de jésus apporte enfin la pleine
réalité de relations fraternelles normales, c'est à dire la "communion
dans l'"agapé" (l'amour qui se donne pour réjouir et faire vivre l'autre), actualisons ce que sera la loi du Royaume. Pour cela, mettons en pratique, aujourd'hui même, dans le présent, cette communion fraternelle qui sera la "morale" dans le futur du Royaume.
Si on veut parler d"oecuménisme", c'est à dire d'unité ecclésiale entre disciples de Jésus, il faut affirmer avant tout que cette "Eglise-une" existe déjà. C'est le "Corps du Christ", la Jérusalem nouvelle qui est l'unique épouse du Messie. Quand, par la Parousie du Christ ressuscité, cet oecuménisme-là sera établi et vécu sur la terre nouvelle, il consistera en une réalité, "non-violente" elle aussi: la pratique généralisée de la communion fraternelle par le lien de l'Amour-agapé. Cette conduite sera la réponse donnée au commandement du Seigneur:
Personnellement, au cours de mon ministère pastoral (dans l'Eglise Réformée de France) j'ai été conduit à prendre des distances à l'égard de ce système hérité de nos pères, système ecclésiologique pervers qui contrarie l'Esprit du Seigneur. Mais non seulement je n'ai pas brisé la communion avec mes frères et confrères protestants mais, avec mon épouse pleinement d'accord, nous avons pendant trente ans, pratiqué la ligne de conduite suivante: lors de chaque fin de semaine, quand se tiennent les assemblées ecclésiales, nous allions prendre place soit dans l'assemblée des Réformés, soit dans l'assemblée des Catholiques, soit dans l'assemblée des Pentecôtistes, soit dans l'assemblée de l'Armée du Salut, soit dans l'assemblée des Adventistes. Partout, oui, nous retrouvions Jésus lui-même! Adoptez, vous aussi, cette ligne de conduite.... Que faire, lors de la Parousie? Et
même, dirai-je, y aura-t-il quelque chose à faire lors de l'Evènement à
portée cosmique qui ébranlera l'ordre des choses actuel? Ne sera-ce pas au contraire, le temps du jugement
de Dieu, dévoilant l'inanité de toute tentative humaine visant à éviter
la fin de ce monde? Non, on ne pourra plus continuer à dire"il est
temps de réagir aux menaces planétaires! il faut se bouger, se bouger
ensemble....! " Ce jour-là il sera tropt tard pour faire ce que Dieu
ordonne aux hommes de faire. La panique mondiale n'aura aucun effet
positif:
Et surtout, à ceux qui "aiment Jésus sans le voir encore" (1Pierre 1.8) il sera dit:
MAIS PAS DE FAUSSES ANTICIPATIONS ! L'Histoire
est pleine de ces tentatives d'actualisation du Royaume de Dieu à venir
qui se sont avérées catastrophiques. En général elles visaient non
seulement à actualiser prématurément la "gloire" à venir mais aussi à imposer à tous, dans la société civile, la règle de vie faite uniquement pour les enfants du "Royaume".
C'est ce qui est arrivé à Jérôme Savonarole, en Italie, quand ce moine assoiffé de justice avoulu imposer à tous les habitants de Florence la morale du Royaume: Il mourut sur le bûcher en 1498! C'est ce qui est arrivé à Thomas Müntzer, en Allemagne, qui voulut transformer la vie de la cité en imposant à tous les lois du Royaume. Il déclancha la révolte des paysants contre les princes, qui brisèrent violemment cette rebellion. Et Müntzer mourut décapité en 1525. C'est ce qui est arrivé au réformateur Jean Calvin: Fixé à Genève en 1541, il voulut y organiser une république théocratique où les moeurs devaient être calquées sur les moeurs du Règne à venir. Il fallait bien une police pour réaliser cette utopie! hélas, on a bien vu que la Genève protestante n'était pas la Jérusalem nouvelle: Michel Servet, traqué par l'Inquisition, crut échapper au bûcher en se réfugiant à Genève. Il y fut arrété et mis à mort! Déjà, au premier siècle, les jeunes églises connaissaient la tentation de ces fausses anticipations du Futur. Certains de leurs membres, par exemple, estimaient que la proximité de la Parousie rendait inutile de travailler pour gagner sa vie; d'autres professaient qu'il "n'y a pas de résurrection" corporelle et ouvraient la voie à un ascétisme de mauvais aloi soit à un dévergondage bien pire. L'apôtre Paul, dans ses lettres, réagit vivement contre toutes ces dérives, rappelant sans cesse que la seule morale valable parmi les chrétiens est l'obéissance à l'enseignement du Maïtre et la conformité à son exemple.C'est cette conduite-là, d'ailleurs, qui sera la seule à exister dans cette "Jérusalem" qui va "descendre d'auprès de Dieu en même temps que son Roi, le "Fils de l'Homme" crucifié." La seule bonne "anticipation" de ce futur-là est l'"actualisation" quotidienne, dans ma vie, de ce que le Maître me dit et me dit de faire, conformément aux Ecritures et à l'inspiration du Saint-Esprit. Et c'est lui qui, par sa venue, va en finir avec toutes les "théocraties " et toutes les "guerres saintes". SE LAISSER FAIRE .....
Que faire
le Jour de la Parousie, lorsque le Sauveur ressuscité sortira soudain
de "l'invisible de Dieu" et descendra de cette "sphère divine" où il
était gardé depuis son "ascension", il y a vingt siècles?
Une réponse, immédiatement, s'impose: rien!
Nous n'aurons rien à faire puique, ce jour-là, le "faire" appartiendra
uniquement à Dieu et à son Christ. Le genre d'activité humaine:
ressusciter les morts n'est pas une possibilité humaine. Seul l'agir
créateur et recréateur de Dieu peut le faire. Et les bénéficiaires de
cette action divine n'auront , si je puis dire,
*Jugez-en vous même:qu'à se laisser faire.
Dans l'action de Dieu qui "déchire les cieux" pour que Jésus en "descende", nous n'y sommes pour rien. Dans l'aaction de Dieu pour réssusciter les morts et les enlever des cimetières et des charniers avec un corps neuf, nous n'y sommes pour rien. Dans l'action particulière sur la dernière génération humaine, les gens restés vivants au moment de la parousie, nous n'y serons pour rien, nous humains: nous n'avons pas le pouvoir de transformer "en un clin d'oeil" des corps mortels en corps immortels! (1 Corinthiens 15. 42 à 56) Dieu le fera seul. Pour nous "transporter" ensuite "en l'air" à la rencontre de ceux qui viennent d'être, les premiers, délivrés de la mort, Dieu seul le fera. Et c'est lui qui nous placera pour toujours auprès de Jésus. A lui seul soit la gloire. ( Invitation à lire 1 Corinthiens 15. 35 à 56) ASSOCIES AU JUGEMENT AVANT-DERNIER Dans l'évangile de Matthieu, Jésus présente d'avance à ses disciples le grand jugement qu'il accomplira lors de sa Parousie (Matthieu 25. 31 à 46) Ce jugement sera un "triage", un "tri selectif" réalisé par le "Roi" dès qu'il sera descendu du ciel et qu'il rencontrera l'innombrable multitude (défunts et vivants) de tous ceux qui, appelés du milieu de tous les peuples ("nations") pour constituer le peuple messianique ( l'Israël de Dieu), se sont déclarés ses disciples. Mais "il ne suffit pas de me dire Seigneur, Seigneur! pour entrer dans le Royaume des cieux, il faut faire la volonté de mon Père qui est aux cieux"( Matthieu 7. 21 à 23 ) avait affirmé Jésus à ceux et à celles qui le suivaient. Or les vrais et les faux disciples s'étaient trouvés mélangés, sans qu'il soit possible de faire le tri. D'où, selon la parabole de l'ivraie, la nécéessité d'attendre la Moisson pour procéder à ce tri. Quand le Roi arrive c'est le moment de cette moisson car le rôle du Messie est de présenter à Dieu, le Père, un peuple saint qui lui soit agréable (Daniel 7. 18 à 27 ) Mais c'est le Père qui, ensuite, procèdera au Jugement dernier et dira le dernier mot au sujet de chaque individu (Apocalypse 20. 11 à 15). Quant au Fils, Jésus, son rôle sera alors de plaider la miséricorde en faveur de tous ceux qui auront été mis de coté par son jugement avant-dernier. Et ceux de Jésus demanderont avec lui cette miséricorde, à grands cris, pour que nul ne soit perdu. Ainsi les fidèles de Jésus lui seront associés pour faire ce triage, ce jugement avant-dernier. Ils le feront dans le même esprit que Jésus, avec la même bonté et la même miséricorde. D'ailleurs celle-ci ne serait-elle pas aussi celle du Père? le Fils n'a t-il pas dit: "Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux"? (Luc 6. 36-37) Alors il serait impensable que, lors de la Parousie, dans la foule des fidèles tout juste déclarés "rois et prêtres" en Christ, il se trouve quelqu'un qui se refuse à acquiter même Judas, Néron, Hitler, etc.....! Non, lors de la Parousie, le "peuple des saints du Trés-Haut" (Daniel 7) commencera son activité nouvelle dans le Royaume en acquittant, en pardonnant et en sauvant tous les impardonnables aux yeux de Dieu. Il ne maniera pas l'épée justicière et meurtrière contre la foule de ceux qui s'en sont servis, depuis Caïn. Les fidèles du messie, invités par lui à juger pour inaugurer le Règne prouveront ainsi que leur "justice" est vraiment ajustée à la sienne, à la gloire de Dieu. Ici il est interressant de faire un retour en arrière et de citer la lettre que Paul écrivait aux chrétiens de Corinthe: " Vous vous intentez des procès les uns aux autres devant les tribunaux des païens! Quelle déchéane! Ne savez-vous donc pas que les saints jugeront le monde?.... Ne savez-vous donc pas que nous jugerons les anges?.... Mais c'est vous qui commettez l'injustice et qui dépouillez vos frères!! " (1 Corinthiens 6. 1 à 11) Assurément nous aurons tous bien besoin d'être "jugés", au jour du Christ, selon sa miséricorde! |
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